Mis à jour le 15 février 2021
The Edge, Jack White et Jimmy Page se sont retrouvés dans la même pièce à la suite du documentaire de 2008 It Might Get Loud. Le film réalisé par Davis Guggenheim explore les carrières du trio rock God, retraçant leurs voyages à travers la musique alors qu’ils échangent des histoires et des cours de guitare respectifs pour certains de leurs morceaux les plus connus.
Une de ces leçons est proposée par Jack White, qui montre au duo comment jouer la chanson omniprésente de 2003 «Seven Nation Army» de son ancien groupe The White Stripes.
Bien qu’il y ait un soupçon sournois que le Page recouvert de noir savait probablement déjà comment jouer le riff plutôt simple, il n’y avait pas de meilleur homme pour lui apprendre les détails derrière le son que Jack White lui-même.
White explique que le riff a été initialement concocté lors d’une tournée en Australie et a rencontré une réponse indifférente de son colocataire, Ben Swank (à savoir des Soledad Brothers), lorsqu’il l’a présenté pour la première fois.
White plaisante sur le fait qu’il a presque abandonné l’idée au cas où on lui demanderait de faire un «thème James Bond ou quelque chose», ce qu’il ferait ironiquement, en travaillant avec Alicia Keys sur «Another Way To Die» pour Quantum of Solace .
La leçon commence alors, et les étudiants bien équipés de White ont éclaté une session de brouillage de la piste, prenant des notes sur la technique de glissement de White au fur et à mesure. Le trio représente l’étoffe des rêves mouillés des fans de guitare, et l’ingérence de leurs propres styles inimitables confère à la pièce une prouesse à voir. Le tout, malheureusement, aspire juste à ce que la grosse caisse de Meg White commence.
Ce n’est peut-être pas la chanson la plus difficile à aborder pour eux, mais voir trois des musiciens les plus influents de l’histoire du rock se mettre au travail est un aperçu fascinant. L’attention de Page aux détails minuscules transparaît en particulier alors qu’il lorgne les doigts sur la frette de White.
Les White Stripes, Led Zeppelin et U2 dans la même pièce, ça vaut le coup de regarder rien que pour ce spectacle. Regardez la vidéo ci-dessous.
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Fender Forme T/ JIMMY PAGE MIRROR TELECASTER RW, WHITE BLONDEGuitare électrique Fender Jimmy Page Mirror Telecaster®Lorsque le monde entier entendit le riff du début de ”Good Times Bad Times” à la radio en 1969, tout changea. Jimmy Page venait de créer sa légende et révolutionnait la musique populaire grâce à une guitare unique : sa Fender® Telecaster. La Fender Jimmy Page Mirror Telecaster est un hommage à cette guitare dont la carrière débuta avec une finition d’origine vernie White Blonde, pour devenir ensuite la ”guitare miroir” avant de se transformer en un instrument unique peint à la main. À ce moment de son évolution, cette guitare de légende produisit quelques-uns des riffs les plus mythiques du XXe siècle.La Jimmy Page Mirror Telecaster présente un corps fait de deux pièces de frêne, une finition vernie et une paire de micros à simples bobinages Jimmy Page Custom '59 Tele® qui produisent le son plein, incendiaire, qui inspira tous les inoubliables licks du premier album de Led Zeppelin. Le manche en érable custom au profil ”Oval C” est surmonté d’une touche rapportée en palissandre au radius de 7.25” (184 mm) avec 21 frettes de style vintage pour un jeu tout en douceur. Le chevalet ”top-loader” permet de monter les cordes au-travers du corps ou sur le dessus de celui-ci, ce qui produit un son plus rond et chaleureux et réduit la tension pour que vous puissiez aisément réaliser des bendings. La guitare est aussi équipée d’un sillet de tête en os, d’un guide-cordes arrondi de style vintage et de mécaniques Pure Vintage Single Line "Fender Deluxe" pour un style et des performances authentiques.Créée avec Page en personne, la Jimmy Page Telecaster présente également des éléments personnalisés, notamment la signature de Jimmy Page sur la tête de manche et sur la plaque de fixation du manche chromée custom. L’étui en tweed vintage recèle huit miroirs ronds (un hommage au traitement que Page appliqua ensuite à la guitare), un câble torsadé noir, une sangle ”Stained Glass” de style vintage et un Certificat d’Authenticité personnalisé. C’est Jimmy qui parle le mieux de sa très chère Telecaster : ”J’en ai vraiment fait Ma guitare – c’est une guitare réellement magique.Points fortsFinition vernie White BlondeDeux micros à simples bobinages Jimmy Page '59 TeleManche en érable custom au profil ”Oval C” : touche rapportée en palissandre au radius de 7.25” (184 mm)Chevalet double ”Top Loader” avec pontets en acier filetéÉtui en tweed de style vintage avec huit miroirs rondsCorps 50s TéléComme sur la ‘59 Telecaster originale de Page, le corps est fait de pièce de frêne. Ce bois génère beaucoup de résonance, des médiums bien définis et présente un superbe veinage.Finition vernieLa finition vernie n’est pas seulement un élément de conception d’époque, elle permet au bois de ”respirer” avec une résonance naturelle et vieillit de façon très particulière.Manche Custom Jimmy PageNous avons reproduit le profil du manche de la Telecaster de Page à l’identique – celui qui a été usé par des décennies de jeu, et l’avons...2 699,00 €