Certains artistes sont vraiment déterminés à jouer un spectacle, même s’ils ne sont pas dans la condition physique la plus parfaite. Kid Rock a dû injecter* des stéroïdes avant sa récente performance lors d’un rassemblement de réélection présidentielle de Donald Trump, car il souffrait de problèmes de cou au fil des ans.
Le rassemblement Trump a eu lieu dans le Michigan le 14 septembre et Rock était là pour montrer son soutien sous la forme d’une tête d’affiche de l’événement avec un concert.
« Au cas où quelqu’un ne sait pas à quel point je soutiens notre président … » a précédé le musicien sur un post Instagram d’une photo de lui-même recevant un traitement médical. Expliquant la raison de l’injection de stéroïdes, Kid Rock a déclaré: «Je suis aux prises avec des problèmes de cou depuis des années (après avoir joué comme je le fais depuis 30 ans) et j’ai passé la matinée au bureau du Dr à recevoir 2 injections de stéroïdes, une dans mon le cul et l’autre dans mon cou, etc, etc. »
Bien qu’il ait reconnu que l’annulation de sa performance aurait été la chose logique à faire, il a refusé d’accepter la défaite.
« C’est aussi l’importance de la réélection de POTUS, nous moquons des attaques continues des médias de gauche, etc., qui se poursuivent depuis plus de 4 ans maintenant « , a poursuivi Rock. » C’est la raison pour laquelle j’ai refusé d’innombrables interviews et apparitions à la télévision car je refuse être leur appât à déclic. »
Suite à ses expressions politiques, le musicien a annoncé un documentaire sur toute sa carrière qui sortira l’année prochaine, ainsi qu’une nouvelle musique et « une dernière tournée monstre qui mettra » ses « critiques dans le cul et donnera tout l’amour » qu’il a à ses fans. .
Detroit Free Press note que la performance consistait en quatre chansons acoustiques, dont son tube «All Summer Long». La plupart des participants au rassemblement ne portaient pas de masque facial.
*Comfortably Numb, The Wall : Roger Waters raconte que les paroles lui ont été inspirées par une expérience vécue alors qu’il était atteint d’une hépatite encore non diagnostiquée, un soir de concert à Philadelphie quand, avant qu’il entre en scène et pour calmer sa douleur, un médecin lui a administré une injection de sédatif. Il raconte : « J’ai alors vécu les deux heures les plus longues de mon existence à essayer de faire un concert alors que je pouvais à peine lever un bras. »