Mis à jour le 1 janvier 2021
En 1990, EMN ou Every Mother’s Nightmare était l’un des meilleurs albums de l’année en une année remplie d’albums géants. Ce disque est un disque que je peux toujours jouer de go to whoa, tout comme leur dernière offre «Grind» qui a mis le son à jour mais toujours aussi dur. Celui-ci était donc pour le moins attendu avec impatience!
Malheureusement, personne ne m’a envoyé une copie de ceci pour examen avant la sortie, donc je me retrouve en fait à avoir une première écoute APRÈS que la date limite pour les albums de l’année ait été fixée dans la pierre. ‘Getaway’ est un stomper de rock alternatif cool, venteux et croquant qui si cela avait été 1995, vous imaginez qu’il aurait gouverné le perchoir. Comme c’est une chanson très cool pas du tout comme les premiers albums bien sûr mais peut-être même mieux que ce que nous avons entendu sur ‘Grind’ leur dernière sortie.
Le Mid-tempo «Breathe» qui suit est tout aussi grungy, mais si je suis tout à fait honnête malgré le fait qu’il s’agisse du premier single de l’album, je le considère en fait comme l’un des morceaux les plus faibles ici (nous obtenons également un ‘Radio edit’ Bien sûr) C’est juste un de ces airs étranges qui ne se connectent pas, je ressens l’énergie et la passion mais la chanson ne prend tout simplement pas de place. Heureusement, c’est le seul ici qui ne le soit pas.
Il y a un énorme swing et un groove pour saluer les patriotes qui est « Here to the Ones » et « Sin In My Heart » s’ouvre avec quelque chose que Nirvana aurait pu écrire avant de pénétrer dans le territoire de l’AIC, mais ajoute une mélodie dans le refrain que ni l’un ni l’autre ne le ferait. ont été assez intelligents pour conjurer. Le merveilleux «Quand ça s’en va» qui suit est plus de texture Soundgarden. C’est l’une des meilleures et des plus remarquables pistes ici.
À mi-chemin dans la chanson titre, c’est un crawl à mi-tempo qui donne un coup de pied au cul. Le reste de l’album pour être honnête est tout aussi satisfaisant avec «Fray»; «Désolé aujourd’hui» et «Unstained», tous gardant le pied sur l’accélérateur. La «nouvelle» chanson finale est «Drown By Luv» qui commence par un beat tribal frénétique et une guitare punk sur laquelle vous ne savez pas si vous devez faire du head-bang ou danser! C’est une super chanson construite pour la fin d’une nuit de whisky!
Nous clôturons bien avec une version renouvelée et remaniée du classique «Love Can Make Your Blind» de ce merveilleux premier album de 30 ans. Il est enregistré ici d’une manière qui correspond parfaitement aux nouveautés et semble plus granuleuse. Je dois admettre que j’aime les deux versions.
Et oui, si je l’avais eu plus tôt, il aurait fait notre liste d’albums de l’année, il aurait été haut dans le Top 10… Plus s’il vous plaît!
8,5 / 10
EMN c’est: Rick Ruhl (chant) Troy Fleming (basse) John Guttery (guitares) Travis ‘Gunner’ Butler (guitares) Allan Bone (batterie)
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Henry Baker and the Flame of Immortality (A Soundtrack Album): (Orchestral Study Score) (English Edition)9,99 €